À quel instant, au juste, franchit-on la ligne de démarcation qui sépare la fin de la jeunesse du reste de la vie ?
Beau, attachant, infiniment stylé, mélancolique et byzantin. Christophe Ono-dit-Biot, Le Point.
Au long de ce livre brillant et mélancolique, on soupçonne […] Jean-Paul Enthoven de n’avoir pas eu à quitter la jeunesse, mais de n’avoir jamais su la goûter tout à fait. Mona Ozouf, Nouvel Observateur.