À la suite d’un deuil, Gretel Ehrlich part à la recherche d’un lieu où abriter sa douleur. Elle s’installe dans le Wyoming, un territoire à la mesure de sa peine : vaste, austère et des plus reculés qui soient en terre américaine. De cette existence au milieu d’une nature presque intacte, en compagnie de bergers et de cow-boys auprès desquels elle va redonner sens à sa vie, est née La Consolation des grands espaces. À la manière de Walden ou la Vie dans les bois de Henry David Thoreau ou de Pèlerinage à Tinker Creek d’Annie Dillard, cette peinture d’une Amérique insoupçonnée est aussi le récit d’une expérience essentielle, d’une renaissance bouleversante, vécue dans le souffle vivifiant d’espaces vierges où l’autrice découvre enfin le sentiment de faire partie d’un tout.
Un livre à savourer et à relire, qui nous rappelle à l’essentiel de ce que nous sommes, des humains habitant la nature, et habités par elle. Le Carnet à spirales.
Préface de Richard Ford.
Traduit de l’anglais (États-Unis) par Valérie Malfoy.
Un livre à savourer et à relire, qui nous rappelle à l’essentiel de ce que nous sommes, des humains habitant la nature, et habités par elle. Le Carnet à spirales.
Préface de Richard Ford.
Traduit de l’anglais (États-Unis) par Valérie Malfoy.