« Callas ? Ça ne durera pas ! Vous verrez : bientôt, plus personne n’en parlera… »
Qui a dit cela ? Une certaine Carlotta Berlumi. Le nom de cette mystérieuse vieille dame n’évoque rien à personne, pourtant, elle soutient mordicus qu’elle connut son heure de gloire à la Scala et fut la plus grande rivale de Maria Callas. À l’entendre, la cantatrice grecque parvint, à force de manœuvres et de combines, à la jeter aux oubliettes, mais Carlotta lui rendit la monnaie de sa pièce en précipitant sa chute. Prend-elle ses désirs pour des réalités ? A-t-elle trouvé en Callas le bouc émissaire de ses échecs, l’explication magique de ses déboires et de ses frustrations ?
Grâce à cette héroïne cocasse et cynique, Éric-Emmanuel Schmitt, dont on connaît le goût pour l’art lyrique, compose un malicieux hommage à la diva iconique.Hubert Artus, Le Parisien week-end.
Un roman aussi bref et intense que la tirade d’une cantatrice. Jean-René Van der Plaetsen, Le Figaro magazine.
Qui a dit cela ? Une certaine Carlotta Berlumi. Le nom de cette mystérieuse vieille dame n’évoque rien à personne, pourtant, elle soutient mordicus qu’elle connut son heure de gloire à la Scala et fut la plus grande rivale de Maria Callas. À l’entendre, la cantatrice grecque parvint, à force de manœuvres et de combines, à la jeter aux oubliettes, mais Carlotta lui rendit la monnaie de sa pièce en précipitant sa chute. Prend-elle ses désirs pour des réalités ? A-t-elle trouvé en Callas le bouc émissaire de ses échecs, l’explication magique de ses déboires et de ses frustrations ?
Grâce à cette héroïne cocasse et cynique, Éric-Emmanuel Schmitt, dont on connaît le goût pour l’art lyrique, compose un malicieux hommage à la diva iconique.Hubert Artus, Le Parisien week-end.
Un roman aussi bref et intense que la tirade d’une cantatrice. Jean-René Van der Plaetsen, Le Figaro magazine.