Dorante aime en secret Araminte, une riche et jolie veuve, qui est hélas d’une classe sociale supérieure à la sienne et s’apprête à épouser un vieux comte. Aidé de son valet Dubois, il imagine alors un stratagème pour conquérir en une journée le coeur de la jeune femme. Représentée pour la première fois en 1737 par les Comédiens Italiens, Les Fausses Confidences est la dernière grande pièce de Marivaux. À travers les demi-vérités et les manipulations de Dubois, cette comédie douce-amère révèle que l’amour est bien souvent affaire d’amour-propre.
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Au programme (officieux) de français des classes préparatoires scienfitiques.
Contenus pédagogiques pour les enseignants
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Les Fausses confidences - Dossier Pédagogique
Publiée en 1737, Les Fausses Confidences est presque l’une des dernières comédies de Marivaux
(16881763). Son étude en classe de Première générale s’articule autour du parcours intitulé « Théâtre et stratagème ». Dans cette comédie, Dorante, un jeune homme bien né mais désargenté, va tenter de se faire aimer d’Araminte, une riche veuve promise à un mariage aristocratique. Il est aidé dans son entreprise par son ancien valet, Dubois, passé au service d’Araminte. Le titre de la pièce renvoie aux stratagèmes que les personnages (Dorante aidé de Dubois d’un côté ; Araminte de l’autre) mettent en oeuvre pour se forcer mutuellement à avouer leurs sentiments : le mensonge et la manipulation permettent finalement de faire éclater la vérité du coeur.
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