nous nous verrons en août
Une fois par an, le 16 août, Ana Magdalena Bach prend un ferry pour passer une nuit sur l’île où est enterrée sa mère. Indifférente à la splendeur des Caraïbes, elle se contente de déposer un bouquet de glaïeuls sur la tombe avant de retrouver son mari. Mais, l’été de ses quarante-six ans, une aventure avec un inconnu va précipiter son destin : Ana Magdalena découvre l’infidélité et la passion des corps en même temps que le dépit amoureux. Comme prise dans une spirale érotique, elle vit chaque pèlerinage sur l’île dans les bras d’un nouvel amant. Si elle comprend l’origine de l’attachement de sa mère à cette lagune peuplée de hérons bleus, Ana Magdalena pourra-t-elle cependant échapper à son sortilège ?
D’une intense sensualité, ce portrait inédit d’une femme libre annonce les retrouvailles exceptionnelles avec le Prix Nobel de littérature colombien.
Exploration du désir féminin et de sa permanence au sein du couple, Nous nous verrons en août s’inscrit dans la continuité d’une œuvre populaire au diapason des conflits intérieurs auxquels tout être humain est assujetti. Laëtitia Favro, Le Point.
García Márquez a toujours eu le don pour nous entraîner dans ses narrations par mille détails vivants qui leur donnent le parfum du vrai, du saisi sur le vif. Alexis Broca, Lire magazine.
Traduit de l’espagnol (Colombie) par Gabriel Iaculli.
Une fois par an, le 16 août, Ana Magdalena Bach prend un ferry pour passer une nuit sur l’île où est enterrée sa mère. Indifférente à la splendeur des Caraïbes, elle se contente de déposer un bouquet de glaïeuls sur la tombe avant de retrouver son mari. Mais, l’été de ses quarante-six ans, une aventure avec un inconnu va précipiter son destin : Ana Magdalena découvre l’infidélité et la passion des corps en même temps que le dépit amoureux. Comme prise dans une spirale érotique, elle vit chaque pèlerinage sur l’île dans les bras d’un nouvel amant. Si elle comprend l’origine de l’attachement de sa mère à cette lagune peuplée de hérons bleus, Ana Magdalena pourra-t-elle cependant échapper à son sortilège ?
D’une intense sensualité, ce portrait inédit d’une femme libre annonce les retrouvailles exceptionnelles avec le Prix Nobel de littérature colombien.
Exploration du désir féminin et de sa permanence au sein du couple, Nous nous verrons en août s’inscrit dans la continuité d’une œuvre populaire au diapason des conflits intérieurs auxquels tout être humain est assujetti. Laëtitia Favro, Le Point.
García Márquez a toujours eu le don pour nous entraîner dans ses narrations par mille détails vivants qui leur donnent le parfum du vrai, du saisi sur le vif. Alexis Broca, Lire magazine.
Traduit de l’espagnol (Colombie) par Gabriel Iaculli.